Avis sur le Projet de loi 57 et le Plan d’action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

Avis sur la prestation minimale et la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale – Pour une approche incitative et respectueuse des besoins

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

Avis sur la jeunesse au coeur de Montréal

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

Avis – Vers le rapatriement de la Stratégie emploi jeunesse

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

Avis sur l’intégration en emploi des jeunes issus de minorités visibles

Avis sur l’intégration en emploi des jeunes issus de minorités visibles

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

Avis sur l’intégration en emploi des jeunes issus de minorités visibles

Avis sur le Projet de loi 57 et le Plan d’action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

Avis sur l’intégration en emploi des jeunes issus de minorités visibles

Avis sur la prestation minimale et la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale – Pour une approche incitative et respectueuse des besoins

Le Comité consultatif Jeunes (CCJ) a la responsabilité d’étudier les problématiques d’emploi des jeunes Québécoises et Québécois afin de conseiller la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT), Emploi-Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) dans l’amélioration ou l’élaboration de politiques publiques visant à maintenir, intégrer ou réintégrer les jeunes en emploi.

L’appui d’Emploi-Québec aux jeunes entrepreneurs

L’appui d’Emploi-Québec aux jeunes entrepreneurs

Au Québec, comme ailleurs en Occident, l’entrepreneuriat et le travail autonome occupent un espace de plus en plus important. En 2004, les 484 000 travailleurs autonomes (dont plus de six sur dix étaient sans employés) représentaient 13,2 % de l’ensemble des personnes en emploi au Québec. Les jeunes de moins de 35 ans sont particulièrement susceptibles de se lancer dans l’entrepreneuriat sous une forme ou une autre.

Le travail atypique au Québec

Le travail atypique au Québec

Il y aura bientôt cinq ans qu’a été rendu public le rapport du comité d’experts sur « les besoins de protection sociale des personnes en situation de travail non traditionnelle ».
Force est de constater que l’emploi atypique occupe toujours une place importante dans le marché du travail, qu’il s’agisse de l’emploi à temps partiel ou de l’emploi occasionnel ou temporaire, de l’emploi à titre d’entrepreneurs indépendants ou d’emploi salarié par l’intermédiaire d’une agence de location de personnel.

La reconnaissance des acquis et des compétences

La reconnaissance des acquis et des compétences

Cette étude s’intéresse à la question de la reconnaissance des acquis et des compétences chez les jeunes. La reconnaissance des acquis et des compétences renvoie au processus par lequel les savoirs (acquis) et les savoir-faire (compétences) d’une personne sont reconnus de façon officielle (certificat, diplôme). Cette étude vise les jeunes travailleurs, les jeunes éloignés du marché du travail, les jeunes personnes immigrantes et les étudiants.

Le maintien en emploi des jeunes

Le maintien en emploi des jeunes

La question du maintien en emploi des jeunes se pose présentement dans de nombreux pays occidentaux et le Québec n’y échappe pas. On entend généralement par maintien en emploi l’ensemble des mesures qui, en agissant sur les individus et sur les entreprises, permettent à un travailleur de demeurer à l’emploi d’une entreprise ou d’une organisation et d’y progresser.

Perspectives et conditions d’emploi chez les jeunes au Québec

Perspectives et conditions d’emploi chez les jeunes au Québec

Le déclin démographique est une cause d’inquiétude pour les jeunes du Québec. On anticipe déjà ses effets sur les finances de l’Etat et sur les services publics. Il aura pourtant des effets beaucoup plus larges, des effets qui se font déjà sentir sur le marché du travail puisque les jeunes âgés entre 15 et 34 ans ont diminué en nombre et en proportion de la population. Jusqu’à présent, malgré tout, l’emploi se porte bien et l’économie du Québec connaît de belles années.

Avis sur le projet de loi 57 et le Plan d’action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Avis sur le projet de loi 57 et le Plan d’action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale

Adoptée à l’unanimité en décembre 2002, la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale prévoyait le dépôt d’un plan d’action avant le mois de mai 2003. Le gouvernement a déposé, le 2 avril 2004, le Plan d’action gouvernemental en matière de lutte à la pauvreté et l’exclusion sociale. Puis, en lien avec ce Plan d’action, le 11 juin 2004 suivait le Projet de loi 57 sur la Loi sur l’aide aux personnes et aux familles.

La jeunesse au coeur de Montréal

La jeunesse au coeur de Montréal

Depuis une dizaine d’années, les enjeux jeunesse n’ont cessé de préoccuper davantage notre société et ses instances représentatives. Le gouvernement du Québec a reconnu l’ampleur de l’enjeu dans la première politique jeunesse de son histoire. Si cette politique en appelle au Québec tout entier, une part importante de l’effort doit certes venir de Montréal. Le CAJ croit que la Ville et ses partenaires doivent profiter du Sommet de Montréal pour s’engager à accentuer et à structurer leur effort envers les jeunes.

Vers le rapatriement de la Stratégie emploi jeunesse

Vers le rapatriement de la Stratégie emploi jeunesse

En 1940, le gouvernement fédéral votait la Loi sur l’assurance-chômage et créait, par le fait même, le Régime d’assurance-chômage du Canada. Au fil des ans, l’objectif de ce régime a été d’offrir une assurance universelle aux travailleurs qui avaient une perte temporaire de revenu associée à la perte d’un emploi. Cette assistance financière était versée sous forme d’une prestation qui, jusqu’à tout récemment, était financée à l’aide de trois sources différentes, à savoir : les cotisations des travailleurs, les cotisations des employeurs et la cotisation du gouvernement du Canada.